C’est une somme de petits signaux qui, isolés, n’aurait pas inquiété les sismologues. Seulement voilà : ces signaux se multiplient et semblent être de plus en plus rapprochés. C’est un premier mini-tremblement de terre qui a été ressenti le 20 janvier dernier à Paris. Une très faible secousse mais bel et bien un premier événement notable et relevé par les scientifiques. Alors que ce soir là, nous Normands, étions tout à notre joie de voir le SM Caen poutrer Guingamp à Roudourou en Coupe de France, le sous-sol de nos voisins franciliens subissaient un premier mini-tremblement.
Depuis cette date, plusieurs nouvelles petites secousses discrètes – car non relayées par les médias mainstream – ont à nouveau été perçues par les experts les plus observateurs. Loin de s’arrêter le phénomène se poursuit et aurait même tendance à « s’amplifier », selon une source anonyme du CSPPSC, lecentre de sismologie parisien de la porte de Saint-Cloud.
Au point que, cette dernière semaine, deux nouveaux tremblements semblent avoir été ressentis par les Parisiens eux-mêmes, à en croire plusieurs tweets de lanceurs d’alerte. Ainsi, @kylian75016 tweete « Sérieux vous avez senti là ? #tremblementdeterre ». Un touriste argentin présent à Paris, @PocketMauricio, s’interroge lui dans une story Instagram « Es una sismica ? Una metropolitàn ? Una fiesta de Neymar ? »
Mais la réalité serait tout autre : nous avons pu en exclusivité nous procurer le rapport officieux du CSPPSC au sujet de ces secousse ! La raison, surprenante, certes, peut-elle être prise au sérieux ? Le fait qu’elle ne soit pas reprise par les médias de désinformation nous conforte dans l’idée que cette version dérange et qu’il n’y a sûrement pas de fumée sans feu…
Nous assumons notre rôle d’informateur et voici retranscrites les observations des sismologues parisiens
- En date du 20 janvier, l’intensité trop faible de la première secousse ne permet pas de déterminer précisément l’épicentre. Il est en revanche noté une étonnante correspondance avec un événement similaire à la même heure, 22 heures à Caen.
- Le rythme avec lequel les événements se reproduisent ensuite a peu de logique mais semble dessiner sur notre relevé graphique une surprenante forme de casque à deux cornes.
- A mesure que l’intensité grandit, l’épicentre se précise : il s’agirait d’une faille sismique absolument inconnue jusqu’alors située sous le centre d’entrainement du Camp des Loges.
- Après relevés sur place, a été détectée une concentration anormalement élevée de trouillophine, un gaz couramment détecté dans des situations d’angoisse collective inexpliquée.
- Selon les prévisions des sismologues qui sont parvenus à construire une modélisation des événements, le point culminant de cette série devrait intervenir ce mercredi 10 février
Pour nous, C’EST TRES CLAIR : Paris a peur. Tellement peur que ça claque des fesses et des dents jusqu’à faire secouer le sol. Maintes fois accroché par l’ogre caennais, le PSG pétoche. LE CHOC AURA LIEU MERCREDI. Pas la peine de prétexter des gastros pour pas venir vous ridiculiser à d’Ornano. On vous attend (aussi un peu parce qu’on n’a que ça à foutre). Un 32ème de finale de Coupe de France, ça ne se joue pas, ça se gagne. Nous, on ne tremblera pas.